Placé sous le thème : << Tirer les leçons de la lutte passée et mobiliser les nouveaux moyens de lutte pour un Tchad de justice et d’égalité >>, les travaux de la grande convention du parti les Transformateurs se tiennent du 4 au 5 octobre 2024 aux palais des Arts et de la Culture.

Durant deux jours, les membres du parti les Transformateurs et leurs sympathisants vont passer au crible les six années de lutte commune, afin d’en tirer les leçons pour des actions futures. De la naissance du parti aux événements du 20 octobre 2022, le président Succès Masra a remercié les hommes et femmes qui ont mettre carré par mettre carré, construit la renommée de cette formation politique que l’on croyait morte avant même qu’elle ne fasse ses preuves.

Des accords de Kinshasa au copilotage

Dr SUCCES MASRA, révèle que les engagements ont permis au parti d’organiser ses activités à travers le Tchad ; ont donné la possibilité de candidater à la présidentielle et permis la libération et la grâce présidentielle accordée aux militants arrêtés, puis condamnés ont été les préalables à son retour. Selon lui, « il était question à travers les engagements pris, d’amorcer l’avènement d’un Tchad nouveau, un Tchad de démocratie, de justice et d’égalité. » Conscient des défis à venir, au l’aune des élections locales et législatives de décembre prochain Succès Masra exhorte à des réflexions poussées : << Notre lutte est une lutte de libération de notre peuple qui est dans une situation d’accepter l’inacceptable. Je voudrais remercier les présidents des Partis politiques et mouvement qui ont adhéré à l’Ideal basé sur la justice et l’égalité.  Je voudrais nous exhorter à nous parler pour la suite de nos combats, laisser votre cœur, texte et intelligence s’exprimer et demain, lors que vous aurez fini de faire les conclusions, nous fixerons le cap à suivre », a-t-il affirmé. Le président de conclure que : « nous sommes allés au sommet de la montagne et nous avons vue la terre promise. Il reste à descendre de là mais ce sera avec beaucoup d’embuches mais Nous allons y arriver ».

Konodji Ngaro